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 I won’t leave you alone [ft. Ariel]

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Willow Deathfang
Willow Deathfang
Shine bright like an idol
ÂGE : 27 ans
PHYSIQUE : 1m60 - la peau particulièrement pâle (la faute à rester en intérieur, plongée dans ses livres de médecine)
ORIENTATION : Bisexuelle
CÔTÉ CŒUR : Célibataire
LANGUES PARLÉES : Anglais, Grec
OCCUPATION : Etudiante (médecin-légiste)

EXILÉ : Thanatos, dieu de la Mort de l'Antiquité grecque
NIVEAU DE FUSION : Au tout début, Willow a des nausées et se sent faible
AVATAR : Lucy Hale
CRÉDIT : ForeverEternity

MESSAGES : 22
DATE D'INSCRIPTION : 30/07/2019


MessageSujet: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty01.08.19 14:40
Willow Deathfang & Ariel White
I won’t leave you alone

Paroles de Willow en #660099
Pensées en italique


Bleurp. Beuaaaaargh. Une fois de plus, j’étais arrivée à temps à la salle de bains. Une fois de plus, je m’étais vidée l’estomac. Cela faisait désormais trois jours que j’étais tombée malade. J’avais d’abord perdu connaissance dans ce parc à Athènes. Juste quelques minutes. Probablement dû à la chaleur qui régnait. Et puis, je me sentais particulièrement faible. J’avais eu du mal à rentrer jusqu’au gîte où nous séjournions avec mes parents. Quand je suis arrivée auprès d’eux, ils étaient affairés à finir les bagages. Trois heures plus tard, nous étions à l’aéroport. Et c’est là que le vrai cauchemar commença. Nausées et vomissements se succédaient, ne me laissant pratiquement aucun répit.

A peine étions-nous arrivés chez nous, à Chicago, que je passais le restant de la journée à dormir. Je ne m’étais réveillée que le lendemain, tard au matin. Qu’est-ce qu’on pouvait être bien dans un lit douillet, surtout en ayant été aussi malade ! Mais bon, il fallait bien en sortir un jour. Et à peine étais-je levée que les vomissements reprirent leur assaut. Je n’avais donc pas le choix. J’étais censée voir Ariel le lendemain, mais au vu de mon état, j’avais été contrainte d’annuler notre sortie.

Pour résumer, j’étais censée le voir en cette journée. Je devais le rejoindre au V’s après sa journée de boulot, mais je n’étais clairement pas en état de sortir. Même si d’extérieur je cachais ma déception pour ne pas tracasser mes parents, intérieurement je ne sais pas ce qui m’abattait le plus le moral : la maladie qui ne cessait de m’affaiblir ou l’idée de ne pas revoir cet ami avant plusieurs jours.

Quoi qu’il en soit, le médecin était venu de la matinée. Selon lui, ce n’était rien de grave et ces nausées ne tenaient que de l’ordre de quelques jours tout au plus. Et il m’avait juste filé quelques médicaments contre la nausée et les vomissements. Au moins, cette visite avait calmé ma mère. Elle avait cru que j’étais tombée enceinte pendant le voyage en Grèce, se persuadant elle-même que j’avais rencontré quelqu’un là-bas. N’importe quoi. Qui aurait bien pu s’intéresser à moi, du moins suffisamment pour en arriver là ?

Dans tous les cas, j’étais là, en fin d’après-midi, la tête par-dessus la cuvette des toilettes, venant à nouveau de me vider. Me relevant pour aller me rincer la bouche et enlever ce goût infect, je repensais à Ariel. Il devrait déjà avoir fini sa journée depuis un moment désormais. Si je n’avais pas été malade, nous serions même en train de traîner dans le quartier ensemble, se racontant les évènements des dernières semaines.

Chassant au loin ces pensées pour éviter de remuer le couteau dans la plaie, je retournai au salon, me vautrer devant la télévision à regarder l’une ou l’autre émission bidon ne servant qu’à abrutir le cerveau des téléspectateurs. À peine mes fesses eurent-elles le temps de toucher le cuir qu’un bruit retentit dans la maison. Quelqu’un venait de sonner à la porte. Étant seule, je n’avais donc point d’autre choix que d’aller ouvrir par moi-même, en espérant ne pas rendre du contenu digestif sur les pieds du visiteur.

Sans me presser, j’allais ouvrir la porte et la personne qui se tenait là, devant moi, dans l’encadrement de l’entrée me laissa bouche bée. Qu’est-ce qu’il faisait là ? Avant que la pièce ne tombe, avant que le déclic ne fasse, je claquai la porte au nez de ce visiteur surprise.

Merde.

Je venais de claquer la porte à Ariel. Pendant un instant très bref, ce fut la panique. Je n’étais ni maquillée, ni coiffée et je portais toujours mon vieux pyjama noir orné d’une faucheuse sur le devant.

Il aurait pu me prévenir qu’il passerait bordel!

Me ressaisissant, j’ouvrai légèrement la porte et passai un œil dans l’entrebâillement, avant de lui demander d’une voix fébrile :

« Mais qu’est-ce que tu fous ici ? »

Sans attendre la réponse, j’ouvris la porte plus grand, m’effaçant derrière elle pour le laisser entrer. Je me sentais quelque peu embarrassée. Je n’étais ABSOLUMENT PAS présentable.

La honte… J’dois avoir l’air d’une ado en pleine dépression…

Enfin soit, il fallait que je détourne son attention. Je me précipitais vers la cuisine tout en lui lançant :

« Installe-toi au salon, j’arrive ! Tu veux boire quoi ? On a un peu de tout dans le frigo ! »

J’ouvrai la porte du frigo et me sortis déjà de l’eau. Pourvu que je ne finisse pas par lui vomir dessus…
815 mots
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Ariel White
Ariel White
Shine bright like an idol
ÂGE : Tout juste vingt quatre ans (30/05)
PHYSIQUE : Une gueule d'ange, à s'faire offrir le bon dieu sans confession
ORIENTATION : On lui a toujours dit qu'il ne pouvait qu'être hétéro, il ne s'était pas posé la question
CÔTÉ CŒUR : Célibataire, les sentiments il ne connaît pas, il ne sait pas vraiment ce que c'est
LANGUES PARLÉES : Anglais, principalement. Un peu de latin, vu à l'école et dans la Bible
OCCUPATION : La liste s'allonge. Étudiant, artiste maudit, serveur au V's

EXILÉ : Loki est - si l'on fait un parallèle avec le christianisme - l'équivalent du diable. Titre injustement offert, à celui que l'on a jamais cherché à comprendre ◊ Il est connu pour sa roublardise et son humeur changeante, mais aussi à sa capacité de sauver les miches de ses petits camarades - oui, bon la plupart du temps c'est lui qui est à l'origine du problème, mais ce n'est qu'un détail ◊ Loki est le père de trois enfants - pas seulement - que l'on à tendance à surnommer des monstres. Il n'est pas vraiment d'accord avec ça. Malgré l'éloignement, il s'est arrangé pour garder un certain lien avec sa progéniture - même si Fenrir veut toujours lui mâchouiller le bras
NIVEAU DE FUSION : La cohabitation ne fait que commencer
POUVOIRS : Dis, à quoi tu penses ? - ou téléphathie, dans tes pensées, il peut lire que tu sois humain, sorcier ou exilés, fais gaffe à quoi tu penses
Appel moi Gemini Criquet - C'est juste cette voix qui te pousse à faire certaines choses. Depuis quand est-ce que tu dis à ton voisin qu'il est complètement abruti de laisser son chien pisser sur ta pelouse ?
Comme une envie de changer de tête - métamorphose

AVATAR : Timothée Chalamet
CRÉDIT : DANDELION (av)

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MessageSujet: Re: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty01.08.19 17:45
won't leave you alone

Let me fill your heart with joy and laughter. Togetherness, well that's all I'm after. Whenever you need me, I'll be there. I'll be there to protect you, with an unselfish love I respect you. Just call my name and I'll be there

@Willow Deathfang & @Ariel White


Tu n’as pas énormément d’amis, du moins ce n’est pas l’impression que tu as. Bien sûr, tu as tout un tas de connaissance. Des personnes que tu as croisé, que tu as dessiné ou peu importe. Très peu d’amis sortent de ce lot. Il y a bien Youri, que tu connais depuis que t’es gamin. Ça crée forcément des liens. Puis, il y a aussi Willow. Cette jeune femme que tu as rencontré sur les bancs de la fac. Vous étiez un peu les deux électrons libres de cette classe, alors il a été logique que vous vous rentriez dedans. Peu à peu, vous avez crée ce lien d’amitié. Tu devais la voir, aujourd’hui. Elle est de retour de vacances. Tu te faisais une joie de la retrouver, après tout ce temps, mais cette joie a été illuminé par un message de sa part. La voilà malade et elle te demande de l’excuser, car elle ne pourra pas venir te rejoindre ce soir. T’es un peu déçu, tu dois bien l’avouer, mais qu’est-ce que tu peux y faire? La maladie n’est pas vraiment une chose sur laquelle tu peux influer.

Alors, après ton service au V’s, t’allais rentrer chez toi. Puis, tu t’es souvenu d’à quel point tu avais pu te sentir mal, quelques semaines plus tôt. La visite d’Irina t’a fait du bien. Peut-être que ça pourrait être la même chose pour elle. Quand on est pas bien, une présence amicale c’est parfois assez pour s’apaiser, non ? Tu décides de faire un petit détour. Tu passes au supermarché pour acheter des mouchoirs, des pastilles à la menthe et un de ces films de zombies idiots. Pas de ceux qui font peur, tu n’aimes pas ça, mais plutôt un qui décide de parodier le genre et que tu trouves amusant. Tu reprends ta route et t’arrête chez le traiteur pour récupérer de la soupe au poulet, avec des vermicelles. Le remède par excellence. Quelques minutes plus tard, tu te retrouves devant l’adresse de la jeune femme. PEut-être que t’aurais dû lui envoyer un message ou quelque chose comme ça, pour la prévenir de ta venue, mais tu as agis sur un coup de tête. Tu frappes et tu attends que quelqu’un vienne t’ouvrir. Au pire, si c’est sa mère, tu te contenteras de lui tendre le sac avec tes emplettes pour qu’elle les donne à Willow et tu rentreras.

Seulement, ce n’est pas sa mère qui t’ouvre la porte, mais bien la jeune femme en personne. Tu lui souris, quand elle t’ouvre la porte, mais tu n’as pas le temps de dire quoique ce soit que la porte se referme déjà devant toi. « Oh… » tu restes là, un peu surpris, sans trop savoir quoi faire. Tu t’apprêtes à tourner les talons, quand la porte s’ouvre de nouveau devant toi. Tu espères qu’elle ne se refermera pas, cette fois. « Je suis content de te voir, moi aussi » que tu lui réponds, alors qu’elle te demande ce que tu fais ici. Elle a le sens de l’hospitalité celle-ci. Malgré tout, tu gardes un léger sourire accroché au coin de tes lèvres. T’es content de la voir, même si elle a les cheveux ébouriffé et le teint blafard. Elle s’écarte pour te laisser passer et tu entres, en laissant la porte se refermer, derrière toi, cette fois. Elle t’invite à t’installer au salon, alors qu’elle te propose à boire. Ça t’amuse. Tu ne l’écoutes pas et tu la suis jusqu’à la cuisine. « Tu veux bien respirer, deux secondes ? » que tu lui demandes, en laissant ton épaule reposé sur le pas de la porte de la cuisine. Tu sens ton bras, lui montrant le sac en papier que tu gardais jusque là. « J’ai pensé que ça pourrait t’être utile » t’as essayé de trouver des trucs qui pourrait lui remonter un peu le moral. Ce n’est jamais très agréable d’être malade, n’est-ce pas ? « J’ai pris de la soupe, aussi. Au poulet, je ne savais pas ce que tu préférais » il faut dire que vous n’avez jamais eu l’occasion de discuter soupe, tous les deux. Alors, tu as dû improviser. T’espères que ça ira quand même.


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MessageSujet: Re: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty01.08.19 23:49
Willow Deathfang & Ariel White
I won’t leave you alone

Paroles de Willow en #660099
Pensées en italique


J’avais déjà sorti la bouteille d’eau pour moi. J’ouvrais maintenant l’armoire adjacente pour m’emparer de deux verres. Mais il ne m’avait toujours pas répondu. Peut-être n’avais-je pas parlé suffisamment fort ? Après tout, quand nous sommes malades, ce sont des choses qui arrivent, non ? J’étais peut-être trop affaiblie pour parler suffisamment fort ? Je ne voyais qu’une chose à faire : lui demander à nouveau ce qu’il souhaitait que je lui serve à boire.

Jetant un coup d’oeil par-dessus mon épaule, je le vis appuyé contre l’encadrement de la porte de la cuisine. Bordel ! Il n’écoute donc jamais ce que je lui dis ? Je n’aurais même pas moyen de me recoiffer un tant soit peu en me regardant dans le reflet de la fenêtre de la cuisine. Et quoi ? J’allais devoir lui imposer cette horrible tignasse sur ma tête ? Non, je devais me ressaisir. Il s’agit d’Ariel. Pas de n’importe qui. Il n’allait pas me juger sur mon apparence, ce n’était pas son genre. Et puis, il connaissait mes délires tous plus bizarres les uns que les autres, ou du moins presque tous. Nous avons tous nos secrets, même envers les personnes qui sont les plus proches de nous.

Allez, reprends-toi Willow ! Il ne te fera rien...

En effet, s’il y avait bien une personne en qui je pouvais accorder une confiance complètement aveugle, c’était lui. Peut-être était-il ce que d’autres appelleraient mon « meilleur ami ». Je ne sais pas. Je n’ai jamais eu suffisamment d’amis pour déterminer ce qui fait que l’un d’entre-eux puisse être le meilleur de tous. Et puis il avait ce chic pour me surprendre, à faire ce que j’attendais le moins de lui. Il était différent des autres. Ça, j’en étais certaine. Pas parce qu’il s’est rapproché de moi durant nos cours communs, non. Plusieurs ont tenté de m’aborder pour apprendre à me connaître. Mais là où Ariel se distingue des autres, c’est qu’il ne m’a pas abandonnée quand il a découvert mes passions.

Et le fait qu’il vienne me voir à l’improviste, alors que j’étais malade. Qui pourrait bien faire une chose pareille pour moi ? Lui claquer la porte au nez n’avait rien de méchant. Cette surprise m’a juste pris de court, je ne savais pas quoi faire et j’ai réagi machinalement, sans réfléchir. Bref, ça m’a troublée.

Mais alors que je m’apprêtais à lui redemander ce qu’il souhaitait boire, c’est lui qui rompit le silence. Quoi ? Il me demandait de souffler deux secondes ? Mais… C’est lui qui venait me prendre de court ! Pour peu et j’aurais très bien pu aller lui ouvrir en petite tenue ! La honte que ça aurait été !

Attends… Non, c’est pas ton genre de te promener en petite tenue, même chez toi. Je suis en train de délirer là, ça doit être la fièvre… Ouais, on va dire que c’est ça !

Inspirant un grand coup, je me retournai vers lui, me forçant à sourire malgré la panique intérieure et les crampes au ventre. De son point de vue, ça ne devait probablement pas être joli à voir mes traits tirés de la sorte. Mais bordel, qu’est-ce que j’étais crevée ! J’espère qu’il ne verrait pas trop mes cernes ! Ou alors, il va me dire que j’ai une allure de cadavre et me sortir une vanne sur ma passion pour les morts ? Peut-être, ça serait drôle, mais par pitié, qu’il ne me fasse pas trop rire ! Surtout si une grosse remontée d’estomac venait à se produire… Je préférais ne pas y penser et me contentais de lui sourire timidement, lorsqu’il me tendit un sac, m’expliquant ce qu’il avait apporté.

Tout ça pour moi ?

Je ne savais plus trop vraiment où me placer, ni quoi penser. Est-ce qu’il attendait que je le rembourse ? Ou bien c’était cadeau ? Le connaissant c’était sûrement cadeau… Je ne savais pas quoi lui dire, mais mon corps réagit de lui-même, n’attendant pas la décision de mon cerveau, et je m’entendis répondre d’une toute petite voix :

« Ah oui ! Du poulet, c’est bon le poulet ! Le micro-ondes est juste là, si tu as besoin ! »

Je lui indiquais du doigt le micro-ondes. Et soudain, je me sentis un peu bête. L’appareil était juste à côté de moi, droit dans son champ de vision. Bien sûr qu’il avait vu où était le micro-ondes ! J’avais vraiment l’impression de délirer à cause de la maladie.

Mais quelque part au fond de moi, j’avais conscience de la réalité. J’étais particulièrement touchée de cette marque d’attention qu’Ariel m’apportait. J’étais heureuse de le revoir alors que je ne parvenais pas à me faire à l’idée que j’avais dû annuler notre sortie de ce soir. Et lui, en réponse à ça, il débarquait chez moi. Juste pour me tenir compagnie. Je pouvais sentir mon coeur se serrer dans ma poitrine. Non pas à cause d’un haut-le-coeur cette fois, mais bien à cause d’un sentiment que j’avais rarement ressenti : se sentir important aux yeux de quelqu’un.
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MessageSujet: Re: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty02.08.19 1:51
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@Willow Deathfang & @Ariel White


Willow fait toujours des trucs bizarres, c’est ce qui t’amuse chez elle. Cette fois-ci ne déroge pas à la règle. Elle s’agite, alors qu’elle est malade. Tu t’approches et t’appuies contre l’encadrement de la porte, pour lui tendre ce que tu lui as ramené. Tu n’as aucune raison de rester dans le salon, tu peux très bien l’aider. Elle n’est pas sensé se reposer, logiquement ? T’as toujours le sac en papier entre les mains. Tu te demandes si elle va décider à le prendre, un jour ou l’autre. Tu t’expliques à propos de la soupe au poulet, parce que t’avais aucune idée de ce qu’elle aurait aimé avoir. Elle te désigne le micro-onde et un nouveau sourire étire tes lèvres. « Tes parents ne sont pas là? » que tu lui demandes, alors que tu te diriges vers le micro-ondes en question. Il semblerait que non, sinon tu en aurais déjà vu un débarquer. Ce n’est pas si grave. À la limite, tu préfères ça. Les parents ont tendance à te mettre mal à l’aise. Parce qu’en général, ils t’adorent. Ça doit venir de ta bonne éducation. Seulement, toi, tu n’aimes pas vraiment toute cette attention. 

Un bol de soupe plus tard, dans le micro-onde, tu te tournes de nouveau vers elle. « Tu devrais peut-être retourner dans ton canapé. » elle est malade, après tout. Elle devrait plutôt se poser et prendre le temps de se reposer, plutôt que de rester là. « Je te ramène ta soupe » elle ne devrait plus tarder à être prête, de toute façon « J’étais sensé passer la soirée avec toi, alors si tu veux toujours de moi » on ne sait jamais, elle a peut-être envie que tu rentres chez toi. Tu serais un peu déçu, mais tu respecterais sa décision, bien entendu. T’es pas du genre forceur. « Peut-être que tu pourrais nous mettre ce DVD que j’ai ramené, en attendant et j’te rejoins dans le salon » ça te semble être un bon plan. Comme ça, elle ne se fatigue pas trop. Tu ne lui diras pas, mais elle a une tronche de déterrer. Quoique… « Par contre, fais gaffe si tu le lances. C’est possible que tu penses croiser ton reflet, dans la télé… C’est juste que tu ressembles vraiment à un zombi » un sourire amusé accroche tes lèvres, t’es plutôt fier de ta blague nulle. Tu l’assumes, au moins.


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MessageSujet: Re: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty03.08.19 0:25
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Paroles de Willow en #660099
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Je lui avais indiqué le micro-ondes lorsqu’il m’avait montré la soupe qu’il avait apportée. Alors que je le regardais s’approcher de moi, ou plutôt de l’appareil, il me demanda si mes parents étaient absents. Oui, ils étaient absents. Ils m’avaient laissé un mot sur la porte du frigo ce matin. Un petit bout de papier attaché avec un morceau de papier-collant. Le message était simple : ils rentreraient probablement très tard et au vu de mon état de santé, je serai certainement à nouveau couchée lorsqu’ils rentreraient.

« Non, ils sont absents depuis ce matin. Ils ne rentreront pas avant très très tard. On a la maison pour nous pour toute la soirée au moins ! »

Sur le coup, je ne fais pas attention au double-sens de mes propos. Après tout, je lui avais simplement dit la vérité. En m’appuyant contre le rebord du plan de travail, je regardais Ariel plaçait le récipient au micro-ondes et le configurer. La soupe serait donc prête d’ici quelques minutes.

Je ne parvenais pas à détacher mon regard de lui. Ce côté serviable qui le caractérisait était vraiment adorable. Même après sa journée de travail, qui n’avait probablement pas été des plus simples, il était venu me rejoindre chez moi pour… s’occuper de moi. Il aurait très bien pu préférer rentrer chez lui. Ou même simplement se dire que je serais très certainement en train de dormir et qu’il aurait effectué ce déplacement pour rien.

En tout cas, il avait fait le bon choix de venir. Je suis habituée à la solitude, certes. Elle fait partie de mon quotidien. Mais quand on n’est malade, même la personne la plus solitaire apprécierait de voir l’une ou l’autre personne s’inquiéter pour elle et prendre de ses nouvelles. Du moins, c’était mon point de vue personnel.

Encore une fois, Ariel me tira de mes pensées en me suggérant d’aller rejoindre mon canapé, qu’il m’apporterait la soupe une fois qu’elle serait prête. Pourvu qu’il n’ait pas vu que je le fixais pendant tout ce temps ! À force, il pourrait finir par se faire des idées sur mes intentions ! Il fallait absolument que je trouve quelque chose à dire, pour justifier le fait que j’étais restée là. En fait, je n’en ai pas eu besoin. Il s’en chargea lui-même.

Ses propos me blessèrent, un peu, certes, mais tout de même. Il me donnait cette sensation qu’il doutait de mon envie de passer du temps avec lui. Si je n’avais pas envie de rester avec lui, je ne l’aurais pas laissé rentrer chez moi. Si je n’avais pas envie de passer la soirée à ses côtés, je ne serai pas restée près de lui pendant qu’il mettait chauffer la soupe. Mais je ne pouvais pas le lui dire de cette manière. Parce que premièrement, je risquais de le blesser alors qu’il partait d’une bonne intention dans ses paroles, s’inquiétant sûrement de me déranger. Et deuxièmement parce que si je me mettais à exprimer ces pensées, à montrer ouvertement que ces propos m’attristaient, je n’aurais pas été en état de retenir quelques larmes. Et je ne voulais pas lui montrer l’image d’une fille faible et vulnérable à son ressenti.

C’est pourquoi je me contentais de sourire à sa remarque, avant de simplement lui répliquer :

« Idiot ! Bien sûr que je veux passer du temps avec toi ! »

Ensuite, il a sorti un DVD de son sac et me l’a tendu en me suggérant d’aller le préparer pendant que la soupe se terminait. Ouais, bonne idée. Je regardais la boite et parcourrais rapidement le résumé situé à l’arrière, lorsqu’il me mit en garde sur le risque d’apercevoir mon reflet, mais que ça ne serait que les conséquences de mon apparence de zombie.

Pourquoi l’avais-je sentie venir cette réplique ? Peut-être parce que je commençais à le connaître après tous ces mois fourrés ensemble ? Je lui jetai un regard faussement contrarié. À mon tour de lui faire une blague.

Je me rapprochai un peu plus de lui, sans lâcher cet air contrarié que je voulais lui présenter.

« Alors comme ça on me traite de zombie ? Tu sais ce que font les zombies ? Ils mangent les humains comme toi ! »

Tout en prononçant ces paroles, j’avais continué à me rapprocher. La distance séparant nos corps s’étant presque volatilisée, j’avais continué à approcher uniquement mon visage du sien, prête à le mordre comme un zombie le ferait. Et alors que je commençais à écarter les mâchoires, un petit « ding » se fit entendre. Aussitôt, je m’écartai de lui, le sourire aux lèvres.

« Ça attendra après la soupe ! Tu serviras de dessert ! »

Sortant le bol du micro-ondes, je fis signe à Ariel de m’accompagner, mais restant en partie sur mes gardes. J’aurai certainement des représailles de ma mauvaise blague, et ce serait de bonne guerre, amplement mérité.

Arrivé au salon, je posai la soupe sur la table basse le temps de préparer le DVD, afin de filer sur le canapé, drapée dans ma fine couverture, les genoux repliés contre ma poitrine, le bol en mains et observant Ariel, attendant de voir s’il allait prendre le risque de venir s’installer près de moi ou bien s’il privilégierait le fauteuil individuel situé un peu plus loin.

« Sinon, ça a été ta journée ? Il doit y avoir pas mal de clients à cette période, non ? »
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NIVEAU DE FUSION : La cohabitation ne fait que commencer
POUVOIRS : Dis, à quoi tu penses ? - ou téléphathie, dans tes pensées, il peut lire que tu sois humain, sorcier ou exilés, fais gaffe à quoi tu penses
Appel moi Gemini Criquet - C'est juste cette voix qui te pousse à faire certaines choses. Depuis quand est-ce que tu dis à ton voisin qu'il est complètement abruti de laisser son chien pisser sur ta pelouse ?
Comme une envie de changer de tête - métamorphose

AVATAR : Timothée Chalamet
CRÉDIT : DANDELION (av)

MESSAGES : 190
DATE D'INSCRIPTION : 16/06/2019


MessageSujet: Re: I won’t leave you alone [ft. Ariel]   I won’t leave you alone [ft. Ariel] Empty03.08.19 1:06
won't leave you alone

Let me fill your heart with joy and laughter. Togetherness, well that's all I'm after. Whenever you need me, I'll be there. I'll be there to protect you, with an unselfish love I respect you. Just call my name and I'll be there

@Willow Deathfang & @Ariel White


Willow  t'explique que ses parents ne seront pas là de la journée et qu'ils risquent de rentrer tard ce soir. Tu as bien fait de venir, elle se serait retrouvée seule, alors qu'elle est malade. Ce n'est pas très cool. Tu ne regrettes pas d'avoir eu le culot de frapper à sa porte, à l'improviste. « Tu ne serais pas seule, au moins » que tu lui réponds. Tu pourras lui tenir compagnie, t'avais prévu de passer une partie de la soirée en sa compagnie, de toute façon. Tu t'occupes de la soupe, en attendant. Il faut bien qu'elle chauffe, si tu veux qu'elle puisse la manger par la suite. Non, parce que la soupe froide, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Tu lui proposes d'aller se poser, pendant que tu termines d'attendre le ding libérateur du micro-onde. Seulement, elle ne semble pas décidé à aller poser ses fesses sur le canapé. Ce qu'elle peut être têtue. Tu sens son regard sur toi, mais tu n'y prête pas vraiment attention. Tu n'arrêtais pas de buger aussi, quand tu étais malade. Tu te dis que ça doit être la même chose. La fièvre rend l'usage du cerveau un peu difficile.

Tu lui souris, quand elle te dit qu'elle a envie de passer du temps avec toi. Tu voulais juste en être sûr. Elle est malade, elle aurait aussi pu vouloir rester tranquille. « Je reste alors » que tu lâches simplement. Après tout, tu es venu pour ça. Passer du temps avec elle et tenter de lui apporter un peu de soutien dans ce moment difficile. C'est à ça que servent les amis, non ? Tu la taquines en lui disant qu'elle ressemble à un zombie. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus flatteur, mais c'est plus fort que toi. Surtout avec elle, qui adore tout ce qui a rapport avec la mort. Bien, désormais elle ressemble à une morte vivante, elle devrait en être contente, non ? Tu la vois se rapprocher, en te demandant si tu la traites vraiment de zombie. Elle te menace de te manger le cerveau. « C'est maintenant que j'suis sensé avoir peur, c'est ça ? » tu lui souris. T'es pas forcément très à l'aise avec la proximité. T'en as pas l'habitude, faut dire.

Sauver par la gong. Le bruit du micro-onde derrière toi la fait reculer. Tu te sens un peu mieux. Pas que tu ne veuilles pas qu'elle soit proche de toi, c'est juste que tu ne sais pas gérer ce genre de comportements. On t'a toujours appris à garder une certaine distance avec autrui, alors forcément ça laisse des traces. Elle te dit que tu as de la chance, que tu lui servira de désert. « Ce n'est pas comme s'il y avait grand chose à manger de toute façon » que tu lui réponds. Tu passes tes doigts dans les mèches brunes en pagaille sur ton crâne. Tu la suis finalement dans le salon. Vous n'avez plus rien à faire dans la cuisine. Elle s'installe, la soupe dans les mains. « J'espère qu'elle sera bonne » que tu commentes. Ça serait dommage que tu lui ai ramené un breuvage imbuvable. Tu t'installes de l'autre côté du fauteuil, gardant bien tes distances. Tu es un galant homme. Elle te demande si ta journée s'est bien passé. Tu acquiesces. « Ça va, il n'y a pas à se plaindre » faut dire que le V's coffee fonctionne plutôt bien. Les clients, ce n'est pas ce qui manque. « On a pas le temps de s'ennuyer, c'est clair » il y a toujours quelque chose à faire, dans ce genre d'endroits « mais c'est tant mieux, je n'aurai pas aimé me tourner les pouces » après tout, si tu as voulu ce boulot, c'est pour travailler, pas pour regarder les aiguilles des heures doucement défiler. Ça, tu peux le faire chez toi. « Ça devait toujours être mieux que ta journée » clairement, travailler, c'est toujours mieux que d'être malade.


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I won’t leave you alone [ft. Ariel]
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